Les journées d'été ne m'ont jamais semblé aussi belles.
En.attendant.le.jugement.dernier
Chacun profite, à sa façon.
Bonne visite...
Tat0uille
Vendredi 7 août 2009 à 18:58
Tat0uille
J'ai de l'amertume plein la gorge. Un poids sur le coeur. Les jambes qui refusent d'avancer, les yeux qui ne veulent pas pleurer. Les bruits se font illusion dans mes oreilles, et j'ai l'impression de sombrer, doucement, au rythme de la pluie. Ma tête se balance, ma vue se brouille, mes idées se bloquent et l'espoir d'aller mieux un jour semble chercher un autre refuge que le mien.
Toutes ces images que je me suis faites, ces histoires que je me suis inventées, ces rêves que j'ai façonnés ; partis. Ils ne veulent plus de moi. Pauvre jeune coeur qui devient vieux, il serait temps de pardonner avant qu'il ne soit trop tard.
(Il n'est jamais trop tard, dit-on.
Méfie-toi quand même.)
Toutes ces images que je me suis faites, ces histoires que je me suis inventées, ces rêves que j'ai façonnés ; partis. Ils ne veulent plus de moi. Pauvre jeune coeur qui devient vieux, il serait temps de pardonner avant qu'il ne soit trop tard.
(Il n'est jamais trop tard, dit-on.
Méfie-toi quand même.)
Samedi 1er août 2009 à 13:51
Tat0uille
(Un temps. Avec emportement.) Mais enfin quel est votre espoir ? Que la terre renaisse au printemps ? Que la mer et les rivières redeviennent poissoneuses ? Qu'il y ait encore de la manne au ciel pour des imbéciles comme vous ?Lundi 27 juillet 2009 à 16:19
Tat0uille
J'avance à tâtons. Doucement. La peur au ventre, des images plein la tête. Des questions qui se bousculent, des sentiments qui s'entrechoquent.Je ne sais jamais quoi faire. Je le fais quand même, et au final je suis rarement déçue.
Le problème avec moi c'est que je suis un tantinet maladroite, perfectionniste et que je m'attache trop vite aux gens. Je suis sensible et j'assume le fait de pleurer tout le temps.
Indécis. C'est un adjectif parfait pour décrire mon avenir.
Dans la vie il y a des gens qui me manquent ; je peux en revoir certains, les autres sont malheureusement prisonniers d'un autre monde que je n'ai pas envie de rejoindre maintenant.
J'avance à tâtons, sans faire de bruit, pour ne pas m'effrayer et me laisser le temps.
Comme pour ne pas réveiller ces fantômes qui me ratrappent un peu trop ; comme pour penser à rire un peu trop.
Julie, 17 ans, peut paraître complètement dépressive & désespérée, même si c'est pas vrai.
Dimanche 26 juillet 2009 à 20:47